Clandestins travaillant pour un ministère
Cela pourrait ressembler à un gag. je vois trés bien ce que Coluche aurait pu tirer de cette histoire . Mais, ce que je ne comprend pas c'est le manque de sanction envers les employeurs de ces entreprises. Mais le plus comique ,c'est l'incapacité pour le ministère de la défense de savoir qui elle fait travailler.
INFO LE PARISIEN.
L'affaire est pour le moins inattendue ! La police a arrêté cette semaine trois travailleurs clandestins qui travaillaient sur le chantier des futurs centres de rétention administrative (CRA) des immigrés sans papiers au Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) à quelques centaines de mètres des pistes de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle.
Lundi, deux premiers travailleurs sans papiers ont été arrêtés. Deux Turcs d'une trentaine d'années. Un troisième homme devait être appréhendé mais a réussi à s'enfuir. Jeudi, un quatrième ouvrier, un Africain, a été repéré et arrêté. Il a été libéré avec un arrêté de reconduite à la frontière.
Tous travaillaient pour le compte de l'une des multiples entreprises sous-traitantes de ce chantier chapeauté par le ministère de la Défense. A l'entrée, chaque ouvrier doit présenter un badge et une pièce d'identité ; une exigence du ministère de la Défense pour lutter contre le travail clandestin.
Aucun des employeurs de ce vaste chantier n'avait, vendredi soir, été inquiété pour avoir recruté une main d'œuvre clandestine. Contactée la préfecture de Seine-et-Marne n'a pas été en mesure d'indiquer la suite qui serait donnée à cette très cynique affaire.
INFO LE PARISIEN.
L'affaire est pour le moins inattendue ! La police a arrêté cette semaine trois travailleurs clandestins qui travaillaient sur le chantier des futurs centres de rétention administrative (CRA) des immigrés sans papiers au Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) à quelques centaines de mètres des pistes de l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle.
Lundi, deux premiers travailleurs sans papiers ont été arrêtés. Deux Turcs d'une trentaine d'années. Un troisième homme devait être appréhendé mais a réussi à s'enfuir. Jeudi, un quatrième ouvrier, un Africain, a été repéré et arrêté. Il a été libéré avec un arrêté de reconduite à la frontière.
Tous travaillaient pour le compte de l'une des multiples entreprises sous-traitantes de ce chantier chapeauté par le ministère de la Défense. A l'entrée, chaque ouvrier doit présenter un badge et une pièce d'identité ; une exigence du ministère de la Défense pour lutter contre le travail clandestin.
Aucun des employeurs de ce vaste chantier n'avait, vendredi soir, été inquiété pour avoir recruté une main d'œuvre clandestine. Contactée la préfecture de Seine-et-Marne n'a pas été en mesure d'indiquer la suite qui serait donnée à cette très cynique affaire.