Le grand film de l’été "Wall-E ".
Le grand film de l’été "Wall-E ".
L’histoire d’un petit robot romantique sur une Terre désertée par l’humanité. La nouvellesuperproduction des studios d’animation Pixar s’impose comme l’un des meilleurs films de l’annéeTout le monde en parle comme d'un chef d'oeuvre.
L'histoire :Romance, sur une Terre dévastée par la pollution, entre un robot compacteur d’ordures et une sonde d’exploration envoyée par une humanité exilée dans l’espace, « Wall-E » cumule les audaces. Continuer de s’adresser aux enfants avec son héros craquant comme une peluche, tout en leur imposant une histoire d’amour, concept peu mobilisant à leurs âges.
Ne rien lâcher sur l’humour et le charme indissociables de Pixar, tout en proposant une heure trente-six de film quasiment sans dialogues mais innervées d’un féroce message écolo.
Une témérité surprenante venant de Disney mais que, paradoxalement, seuls l’empire de Mickey et sa force de frappe pouvaient s’autoriser.
« Propagande de gauche »
Outre-Atlantique, les grincements de dents ne se sont pas fait attendre dès la sortie du film le 27 juin. « Wall-E » se retrouvant traité de « propagande de gauche » par certains députés conservateurs, pendant que sa charge anticonsumériste s’est vu, çà et là, taxée d’hypocrisie, vue la marée de produits dérivés qui a inondé les magasins de jouets.
Une polémique qui n’a pas empêché l’amortissement immédiat de la superproduction, avec 200 millions de dollars de recettes en un mois. Autant de raisons pour la France de l’accueillir elle aussi dignement en salles, à l’unisson d’une critique qui s’annonce unanime. En ayant une petite pensée pour la seule personne qui ne pourra pas connaître la magie « Wall-E » : Andrew Stanton lui-même. « C’est la malédiction des réalisateurs, on ne peut pas être son propre spectateur ! »
L’histoire d’un petit robot romantique sur une Terre désertée par l’humanité. La nouvellesuperproduction des studios d’animation Pixar s’impose comme l’un des meilleurs films de l’annéeTout le monde en parle comme d'un chef d'oeuvre.
L'histoire :Romance, sur une Terre dévastée par la pollution, entre un robot compacteur d’ordures et une sonde d’exploration envoyée par une humanité exilée dans l’espace, « Wall-E » cumule les audaces. Continuer de s’adresser aux enfants avec son héros craquant comme une peluche, tout en leur imposant une histoire d’amour, concept peu mobilisant à leurs âges.
Ne rien lâcher sur l’humour et le charme indissociables de Pixar, tout en proposant une heure trente-six de film quasiment sans dialogues mais innervées d’un féroce message écolo.
Une témérité surprenante venant de Disney mais que, paradoxalement, seuls l’empire de Mickey et sa force de frappe pouvaient s’autoriser.
« Propagande de gauche »
Outre-Atlantique, les grincements de dents ne se sont pas fait attendre dès la sortie du film le 27 juin. « Wall-E » se retrouvant traité de « propagande de gauche » par certains députés conservateurs, pendant que sa charge anticonsumériste s’est vu, çà et là, taxée d’hypocrisie, vue la marée de produits dérivés qui a inondé les magasins de jouets.
Une polémique qui n’a pas empêché l’amortissement immédiat de la superproduction, avec 200 millions de dollars de recettes en un mois. Autant de raisons pour la France de l’accueillir elle aussi dignement en salles, à l’unisson d’une critique qui s’annonce unanime. En ayant une petite pensée pour la seule personne qui ne pourra pas connaître la magie « Wall-E » : Andrew Stanton lui-même. « C’est la malédiction des réalisateurs, on ne peut pas être son propre spectateur ! »